Equipement de protection individuelle (EPI) : définition - Lexique droit du travail

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Un équipement de protection individuelle (EPI) est un élément destiné à protéger d’un ou de plusieurs risques à un poste de travail. Selon la directive 89/686/CEE du 30 novembre 1989, ces équipements de protection individuelle sont définis comme « tout dispositif ou moyen destiné à être porté ou tenu par une personne en vue de la protéger contre un ou plusieurs risques susceptibles de menacer sa santé ainsi que sa sécurité au travail, ainsi que tout complément ou accessoire destiné à cet objectif ».

Un équipement de protection individuelle (EPI) est un élément destiné à protéger d’un ou de plusieurs risques à un poste de travail. Selon la directive 89/686/CEE du 30 novembre 1989, ces équipements de protection individuelle sont définis comme « tout dispositif ou moyen destiné à être porté ou tenu par une personne en vue de la protéger contre un ou plusieurs risques susceptibles de menacer sa santé ainsi que sa sécurité au travail, ainsi que tout complément ou accessoire destiné à cet objectif ».

Sont notamment considérés comme des EPI : les chaussures de sécurité, les lunettes de protection, les masques de protection respiratoire, les casques de protection, les bouchons d’oreille, les gants ou encore les vêtements de protection.

Ces équipements sont classés selon trois catégories en fonction de leur utilisation et du degré de risque pour lequel ils protègent. La classe 1 concerne les risques mineurs et les lésions superficielles. La classe 2 concerne les risques intermédiaires et les lésions graves. Enfin, la classe 3 concerne les risques mortels.

Les EPI peuvent n’être mis en place que lorsque toutes les autres mesures d’élimination ou de réduction des risques, par des moyens techniques de prévention collective ou par des mesures d’organisation du travail, sont insuffisamment efficaces ou impossibles à mettre en œuvre. Dans ce cadre, le port des EPI permet de prévenir des risques résiduels.

Toutefois, conformément aux principes généraux de prévention, la mise en place de protections collectives reste toujours préférable.